Revue de presse du 1er juin

Revue de presse du 1er juin
Marianne Thyssen : « j’ai eu une attitude plutôt féminine »

Marianne Thyssen est candidate au poste de Premier ministre. C’est l’information
« campagne » de ce mardi donnée par tous les quotidiens. Ce n’est pas vraiment une
surprise. Comme l’écrit le Soir, jusqu’à ce jour, elle ne le niait pas. « Je ne l’avais pas encore
dit parce qu’on ne me l’avait jamais demandé
», sourit la présidente du CD&V. J’ai eu jusqu’à
ce jour une attitude plutôt féminine. Les femmes sont plus prudentes dans l’expression de leur
ambition, mais elles n’en sont pas dépourvues ».
Pas un hasard
Le Soir
évoque aussi la stratégie du CD&V. « La campagne est basée sur le caractère
responsable des chrétiens démocrates flamands, alors que celle de 2007 était
communautaire radicale ». « Un virage difficilement acceptable pour les mandataires les
plus pointus qui avaient pris l’habitude de s’aligner sur la N-VA. Certains CD&V prédisent
d’ailleurs à Marianne Thyssen de 250 000 à 300 000 voix, à comparer aux 800 000 de
Leterme en 2007 et aux 450 000 qu’ils annoncent pour Bart De Wever. »
Pour Démétrio Scagliola (éditorialiste à Sud-Presse), « ce n’est pas un hasard si Marianne
Thyssen a annoncé hier sa candidature. La patronne du CD&V veut reprendre la main et
rassurer la grande partie de l’opinion publique flamande qui ne veut ni de Bart De Wever,
ni d’Elio Di Rupo à la tête du gouvernement. »
L’information Thyssen - ou plutôt la confirmation - est donnée par le Soir en marge des
propositions budgétaires du CD&V pour lequel « il faut accélérer l’effort budgétaire » écrit
Bernard Demonty. « Thyssen veut une économie de 2,5 milliards, soit 700 millions de plus
que prévu ».
« Il faut rester crédible, répond Melchior, nous devons rester sur les objectifs établis ». « Ce serait
intenable de vouloir accélérer l’effort d’assainissement tout ne maintenant les politiques
sociales »,
ajoute le député écolo Georges Gilkinet.
Pour passer à autre chose

Les journaux multiplient les comparaisons de programmes. Le dossier du Soir est consacré
à la réforme de l’Etat : ce que prônent les principaux partis. Pour le cdH, le journal retient
une formule : « Du fédéralisme de compétition au fédéralisme de coopération ». Pour
les autres, des slogans convenus: « il est impératif de stabiliser l’Etat fédéral » (PS), «
Respecter les droits linguistiques et de vote des francophones dans un Etat réformé
»
(MR) et « Etre fort, ce n’est pas l’intransigeance et le repli, c’est accepter de parler » (Ecolo).
Dans quel état d’esprit se trouvent les candidats ? Le Soir propose quelques lignes pour
chacun en large de leur programme institutionnel. Pour Joëlle Milquet, c’est « même pas
peur ».
L’expression a décidément fait mouche au point que Véronique Lamquin la
présente comme « un slogan de campagne ». S’il veut stabiliser l’Etat, c’est dit Elio Di Rupo
« pour passer à autre chose ». Didier Reynders veut « réformer l’Etat fédéral » et Jean-
Michel Javaux « en finir ».

Ecolo : la pension minimum à 1.250 €

Le thème retenu par Sud-Presse est la sécurité. « Le cdH développe un programme très
complet », écrit Didier Swyssen, sous le titre « policiers mieux formés ». Du programme
du PS, le journal retient la volonté de « payer plus vite les victimes » ; du MR : « protéger
les +65 an
s » et pour Ecolo : « une justice plus compréhensible ».
Jean-Michel est interviewé par la Libre. « Oui les Verts sont prêts à gouverner avec la N-
VA »,
déclare-t-il en titre. Il y a deux ans, il avait dit que c’était un tabou. « A quinze jours des
élections, je ne veux pas venir avec des exclusives qui pourraient bloquer la formation d’un
gouvernement. »

Quelles sont les trois mesures qu’il proposerait s’il arrivait dans un gouvernement ?
« 1. Un plan intergouvernemental avec les Régions et les Communautés pour augmenter nitre
effort dans la transformation écologique de notre société. 2. Appliquer les recommandations de
la commission de la lutte contre la fraude fiscale en taxant, par exemple, certaines opérations
boursières en fonction de la volatilité des titres et réorienter les intérêts notionnels. 3. Relever les
minima des pensions à 1.250 euros. »

Benoît Lutgen était invité à répondre par téléphone aux lecteurs et aux lectrices de Sud-
Presse
. Démétrio Scagliloa en résume la teneur. Plusieurs questions avaient trait aux
travaux routiers. Une dame dit son admiration. Fan elle a confié au ministre qu’elle avait sa
photo dans son sac et qu’elle était célibataire. C’est annoncé en titre.
Ne dites plus Vers l’Avenir, mais L’Avenir

Ne dites plus «
», dites L’Avenir. Le groupe a abandonné son nom tautologique et uniformisé l’appellation de ses éditions. C’est l’Avenir pour tous, y compris
donc en Wallonie picarde où le vénérable Courrier de l’Escaut, plus ancien journal du
royaume cède la place, tout en gardant son nom en tête du cahier régional. Le patron de
l’Avenir, Quentin Gemoets (ancien directeur de marketing de… Sud-Presse) s’en explique
dans les colonnes du Soir.
L’avenir de la Belgique, on le sait, Paul-Henry Gendebien le voit en France. Pour le
président du Rassemblement Wallonie-France, d’accord sur ce point avec Bart De Wever,
« la Belgique, c’est fini ». Dans l’immédiat, il craint que les francophones baissent leur culotte
face aux Flamands : « Il y a de la trahison dans l’air », déclare-t-il à L’Avenir.
Son parti est à l’honneur ce mardi. Le coprésident du RWF, Laurent Brognier, économiste
dans un cabinet d’audit, candidat dans le Brabant wallon est l’invité de la Dernière Heure
(« Un rattachiste se dévoile »)
« Populiste, moi ? Je suis la droite décomplexée »

Les candidats de ce mardi qui sont suivis dans leur campagne, l’ont déjà été ces jours
derniers dans d’autres quotidiens. Mischaël Modrikamen (l’Echo) dit apprendre un
nouveau métier. Il le goûte, mais n’aime pas le terme « populiste » auquel il préfère
l’expression « la droite décomplexée ». Il n’aimera pas non plus sans doute la liste publiée
par Christophe De Caevel de tous les responsables qui ont quitté ou ont dû quitter le Parti
populaire depuis sa fondation. Alexander De Croo est croqué dans le fief familial à
Michelbeke et dans sa région des Ardennes flamandes. (Libre).

Di Rupo inoxydable tête de liste

La Libre s’arrête aujourd’hui dans le Hainaut. « La fin du surf sur les affaires de
Charleroi »
. Celles-ci ne constituent plus un argument utile. En 2007, le MR avait dû son
succès aux dérapages du PS. Il n’est plus de bon ton de s’en repaître. Si la tête de liste,
Olivier Chastel a obtenu une récompense, avec son secrétariat d’E4tat aux Affaires
européennes, il donne l’impression de s’éloigner de son terreau électoral », écrit Philippe
Mac Kay.
« Au PS, ajoute le journaliste, Di Rupo reste l’inoxydable tête de liste, en épargnant à
certains l’obligation d’y figurer, ce qui aurait pu aussi lui faire de l’ombre ».
Et le cdH ? Il reste conduit par le même trio. Une inconnue subsiste pourtant quant au sort
de Véronique Salvi : déjà élue lors du précédent scrutin fédéral après plus de 14 000 voix
de préférence, elle avait bifurqué l’an dernier vers les régions. Comment s’en expliquer en
se représentant devant l’électeur ? Ne va-t-on pas lui reprocher de collecter des voix pour
ne pas siéger ensuite ?
Chez Ecolo, Nollet a sagement choisi de n’être que dernier effectif, ce qui réduit d’autant
son engagement ».
« Il faut bien que la Flandre commence quelque part »

Autre série en cours dans la Libre : l’enquête sur ce que veulent les Flamands. Thème du
jour : « la Flandre va-t-elle arrêter la francisation de la périphérie ? » L’ancienne rectrice
de la VUB, Els Wtte parle plutôt d’ontnederlansing car la menace de la tache d’huile n’est
plus (seulement) le français mais tout ce qui n’est pas néerlandais, en particulier l’anglais ;
en un mot : l’internationalisation.
Ce que confirme Boudewijn Van Peteghem, dans sa chronique quotidienne. Bruxelles
s’internationalise et prend de l’ampleur. Selon lui les étrangers qui s’installent en Flandre
sont plus enclins que les Belges francophones à s’intégrer. Quant aux frontières, le
bourgmestre de Dilbeek avance cette évidence : « il faut bien que la Flandre commence
quelque part ».

Un mot des clips de campagne. L’Avenir les a vus et propose une comparaison sous
l’appellation bien nommée d’« humeur ». Martial Dumont n’a manifestement pas apprécié
celui du cdH (« entre Temesta et Prozac »). Il est critique envers le PS (« moderne mais
trop long »),
moqueur envers le MR (« Sans musique la video est sobre, efficace,
synthétique. Et ennuyeuse »). Et enthousiaste pour Ecolo dont le clip lui a fait penser à
Question à la Une – ce qui était d’ailleurs l’effet recherché.
Balance commerciale : la Wallonie sauve la Belgique

L’information ne se retrouve pas dans les pages « campagne », mais y aurait sa place dans
le grand débat - déballage – communautaire : pour la « balance commerciale, la
Belgique est sauvée par la Wallonie »
qui a dégagé un surplus de 9,5 milliards contre un
déficit de 9,3 milliards pour la Flandre. Cela concerne 2008, mais les chiffres des premiers
mois de 2009 confirment la tendance positive. (Libre)
Jean-Claude Marcourt annonce un plan global pour accroître l’utilisation du numérique
encore trop limité en Wallonie aux courriels et aux jeux.

Décumul : le gouvernement wallon recalé
« Bonn gouvernance : décumul recalé »,
titre le Soir. Rien à voir avec la balance
commercial, le gouvernement wallon veut, au nom de la bonne gouvernance, limiter le
cumul des mandats et les situations risquant d’amener des conflits d’intérêt. Le conseil
d’Etat a relu les textes. Le verdict est sévère. Le gouvernement doit sérieusement revoir sa
copie.
Le Conseil d’Etat vise notamment la limitation du nombre de députés-bourgmestres ou
échevins à un quart de chaque groupe. Le législateur wallon n’est pas habilité à édicter des
règles de composition. « Il faudra un sérieux débat, admet Paul Furlan, au sein du
gouvernement puis au Parlement, mais en dehors de la période suspecte actuelle.

L’Avenir fait part de l’étonnement d’André Antoine quand il a appris que la Mission
régionale de l’Emploi de Liège avait les reins assez solides pour acheter un immeuble d’1,3
millions. Il veut clarifier la réalité financière de ces acteurs qui disposent de moyens publics
très importants pour assumer l’accompagnement des personnes les plus éloignées de
l’emploi » ; Bref, « il veut tenir la Mirel à l’œil. »
C.D.B.

Source: http://www.lecdh.be/sites/default/files/REVUEPRESSE010610.pdf

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